Erez Klia Krido Mannfred Achémix
Le groupe continuait à s’éloigner de la route, caché par la cime des arbres. Le groupe s’enfonçait dans une forêt. Cette forêt avait quelque chose d’étrange… Il n’y avait pas de bruit... Ils suivaient un petit sentier en terre qui était visiblement emprunté par quelques chasseurs.*Un cri retentit* « Au secours, au secours !!!! A l'aide ! A l’aide ! »
> Un appel de détresse. Il faut aller l’aider.
> Et puis quoi encore ? On va se retrouver au milieu d’une dizaine de cultiste qui fouillait les bois ?
> C’est peut-être le marchand que l’on cherche.
*Un autre cri retenti* « Halte là, donne ton or et ta marchandise, sale nain »
> Et merde. C’est surement Hohau. Allons l’aider.
Mannfred courut, son épée à la main en direction du cri. Il tomba sur une petite route de l’autre côté de la forêt.
Des brigands de grand chemin entouraient un nain et une charrette qui passait sur une des routes menant au village. Brigands Marchand
> Lâchez-le, et battez-vous à quelqu’un de votre taille
*Les brigands se retournèrent*
> Tu crois pouvoir faire quelque chose tout seul contre nous quatre ??
> Qui a dit que j’étais tout seul
Les brigands virent le groupe d’aventurier. Ils n’étaient pas assez nombreux pour faire face. Ils prirent la fuite. > Ouf, C’est plus de mon âge de courir comme ça.
> Merci de m’avoir aidée. Tenez c’est pour vous.
Le nain donna à Mannfred une épée en acier de bonne facture.> Et moi ?
> Tiens, prends là, j’en ai pas besoin.
*Le voleur prit l’épée et la mit à sa ceinture.*
> Vous êtes Hohau ?
> Non, moi c’est Comersopus. Hohau il est de l’autre côté de la forêt.
* Le groupe se retourna vers Achémix*
> N’aller pas vers le village, il est assiégé par des cultistes.
> Je prends l’autre croisement de toute façon.
* Le marchand s’en alla*
> Cette petite intrigue m’a donnée envie de chanter.
> Pas le temps, il faut vite rejoindre l’autre chemin avant que quelque chose de grave arrive.
> Ce petit chemin qui sent la noisette...
Me rappelle soudain ce grand jour de fête
Où plusieurs gredins me prenaient la tête,
Mais comme je suis bourrin, je leur pète la tête,
Je prends tous leurs biens, leur or et leurs guêtres,
Ah c’est tellement bien, de piller ces bêtes !
Je n’oublierais point cette chansonnette
Du petit chemin qui sent la noisette… !
chanta KridoC'était sur cette chanson que le groupe reprit très rapidement le chemin dans la forêt en direction de la ville voisine.